voyante-sincere-par-mail

25/07/2017 08:27
 
Lorsqu’il fut enfin établi que Paco et Max se verraient le surlendemain et que tout avait été dit, ma belle et ma pomme quittâmes les premiers le hangar, je savais que nos deux diplomates de choc tenaient à prendre le temps d’effacer les traces de notre passage et souhaitaient donc nous voir nous esquiver en pôle position.Dehors la nuit était déjà tombée… oui, brutalement, d’un coup, sans même nous en avertir, c’est vache ça non, tu trouves pas ?… et le bleu profond du ciel avait cédé sa place à un écran de profond velours noir, voyance en ligne email, percé de milliers de petits éclats de diamant scintillants de mille feux… C’est beau non, t’en pleurerais si tu pouvais non ?… La fraîcheur aussi était tombée… toute aussi vacharde sans prévenir… ma princesse frissonnait, j’ouvris le coffre de mon auto, en sortis une veste légère et en couvris les épaules de ma frileuse… J’suis bon non ? Et galant homme avec ça !Il était maintenant l’heure où les dizaines de couples ébahis par les attirances aquatiques du soleil, avaient trouvé refuge dans l’un ou l’autre des restaurants de bord de mer encore ouverts.
 
N’étant pas particulièrement pressé de m’expliquer sur un passé longtemps enterré et que je vouais jusqu’alors à l’oubli, je décidai de ne point briser ce qui est d’or par un abus de ce qui est d’argent… à toi de te référer au fameux proverbe imbécile.en ignorait l’histoire.
Lorsqu’il fut enfin établi que Paco et Max se verraient le surlendemain et que tout avait été dit, ma belle et ma pomme quittâmes les premiers le hangar, je savais que nos deux diplomates de choc tenaient à prendre le temps d’effacer les traces de notre passage et souhaitaient donc nous voir nous esquiver en pôle position.
Dehors la nuit était déjà tombée… oui, brutalement, d’un coup, sans même nous en avertir, c’est vache ça non, tu trouves pas ?… et le bleu profond du ciel avait cédé sa place à un écran de profond velours noir, percé de milliers de petits éclats de diamant scintillants de mille feux… C’est beau non, t’en pleurerais si tu pouvais non ?… La fraîcheur aussi était tombée… toute aussi vacharde sans prévenir… ma princesse frissonnait, j’ouvris le coffre de mon auto, en sortis une veste légère et en couvris les épaules de ma frileuse… J’suis bon non ? Et galant homme avec ça !
Il était maintenant l’heure où les dizaines de couples ébahis par les attirances aquatiques du soleil, avaient trouvé refuge dans l’un ou l’autre des restaurants de bord de mer encore ouverts.
La faim nous gagnant, je décidai qu’il était opportun de les imiter, ma carte de crédit au chaud dans la boîte à gants… je sais, c’était pas très prudent, mais vraiment, j’en avais rien à taper… nous mîmes le cap sur la jetée rouge.
Durant le trajet, ma douce et tendre digérait les nouveautés de la soirée.
Son diable d’homme, moi en l’occurrence, avait été l’un des acteurs d’une révolution sud américaine, on voulait le décorer pour cela et ce fou le lui avait toujours caché.
Estimant sans doute que je lui devais des explications… ouais, t’as raison, elle n’avait pas totalement tort… elle gardait le silence dans l’attente de m’ouïr faire étalage de mes anciens et supposés nombreux faits d’armes.
N’étant pas particulièrement pressé de m’expliquer sur un passé longtemps enterré et que je vouais jusqu’alors à l’oubli, je décidai de ne point briser ce qui est d’or par un abus de ce qui est d’argent… à toi de te référer au fameux proverbe imbécile.